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Cinéma, musique par Bob
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Contenu en 3 5 points
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Extraits film musique
Pour aller plus loin
Référence
Citations
réunion d équipe : nous on s’appelle “les peintres” (ui) et l equipe serveur c’est les piafs
La routine . Quelques exemples
X2 “- je n’ai rien fait mais j’ai plein de choses à dire bla bla bla”
X1 : “blab bla bla J’espère que je ne t’ai pas coupé. Ah c’est à moi , ben j’ai rien à dire mais bla bla blab)”
X2 : “je me suis pris le bec avec les piafs”
X2 : ” vous avez voulu prendre les latest ben là c ‘est bien bugué”
X3 : “quand j ai fait mes tests après la démo, ca s’est bloqué et j’avais des trucs étranges”
X2 : “c’est les piafs ils font souvent du ménage après”
La version HD de cette série est un régal : on se rend compte du méticuleux de la reconstitution et de la qualité de l’interprétation David Suchet en tête.
David Suchet a créé un Poirot inoubliable : amusant, maniaque, prétentieux, malicieux. En VO, l’accent anglais de Poirot est francisé mais le doublage de Roger Carel (jusqu’à la saison 12) est aussi un plus.
La version HD est un incontestable plus.
Les épisodes de 50 mn sont souvent plus comiques, plus légers mais avec le format de 1h30 on rentre dans des téléfilms qui égalent de grands films.
Saison deux qui vaut aussi par la présence de Hastings, l’inspecteur Japp et Miss Lemon
épisode un peu long mais un finish étincelant et plein de rebondissements sur la deuxième partie.
épisode curieux sans meurtre à élucider et avec un Poirot en marge de la légalité. Début intéressant mais qui s’essouffle un peu sur la fin.
Épisode qui part dans plusieurs directions avec de belles scènes comiques avec Poirot et Hasting jouant au monopoly et une scène de poursuite cocasse.
Excellente reconstitution avec un scénario classique mais plein de charme et de suspense avec de la malice envers Japp et Hastings.
Scénario classique mais l’originalité est que Poirot ne quitte pas son bureau et laisse Hastings et Japp s’emmêler tandis qu’il joue aux cartes et parle à son perroquet. Un Poirot espiègle et comique.
Un Poirot fatigué qui veut prendre sa retraite et une station balnéaire avec Japp qui fait des conférences. Un scénario original avec un rebondissement et des fausses pistes. Des scénes comiques et émouvante avec Japp qui voue une admiration pour Poirot et Hastings cœur d’artichaut.
Miss Lemon sur le terrain, Poirot qui achète un appartement et joue au cambrioleur, un policier américain suffisant : des bonnes idées mais la reconstitution façon polar est assez moyenne et le scénario assez bancal.
Un polar politique assez différent des classiques de Poirot. Un Poirot entêté et méthodique, une reconstitution de la campagne anglaise, et un scénario bien ficelé : on est dans le téléfilm de grande qualité.
Scénario un peu faible et un peu prévisible mais quelques bonnes scènes avec Poirot transi d’admiration pour la grande actrice du cinéma belge.
Le finish de IE ressemble à un film d’horreur,
Une variation gore de la séquence “Silenzio” de Mulholland Drive.
Le rêve (ici le cauchemar) prend fin dans une longue séquence où tout n’est qu’apparence.
mais dans la rue.
Hollywood n’est pas la ville de rêve d’où naissent de merveilleux films.
Tout est sordide, tout est sale, mais ce n’est que du cinéma.
L’emploi du morceau de Ligeti et de la démarche Laura Dern imitant Jack Nicholson est un hommage au Shining de Kubrick.
Laura Dern errante dans les rues et les notes épurées au piano rappellent l’errance de Tom Cruise et l’ambiance dans Eyes Wide Shut.
Une actrice qui vit à Hollywood s’apprête à tourner un film.
Tout (actrice, réalisateur, scénario) concourt à un futur grand succès.
Mais ce film n’est pas la fiction inédite qu’on croit.
C’est en fait le remake d’un film inachevé.
Maudit car les deux acteurs principaux ont été assassinés.
Par qui pourquoi ?
On ne sait pas.