Groupe de rock progressif, metal parfaitement équilibré entre mélodies accrocheuses et parties instrumentales, accessible mais pas démodé.
Riff et batterie percutante.

Cinéma, musique par Bob
Passage en revue sur Pink Floyd et extraits sonores
Dark Side Of The Moon : album célébrissime et culte maintes fois joué rejoué réinterprété.
Il fait le pont entre le Pink Floyd “psychédélique” (67-72) et le Pink Floyd “progressif” (73-79) entre une musique déroutante et un musique (devenue) ultra populaire.
L’album (sous forme de concept) a aussi été joué en live avant d’exister sur une forme modifiée en disque.
Oeuvre qui a amorcé rendu célèbre (ou inventé) le rock progressif sous la forme de l’album concept, il est excellemment produit.
Le coffret “immersion Edition” permet de comprendre la genèse de l’oeuvre comment elle a existé en live, les premiers enregistrements où il manque certains détails ou passages célèbres puis l’oeuvre terminée et enfin l’oeuvre remixée en son haute définition et multi-piste.
“Momentary Lapse Of Reason” est un tournant dans la carrière du groupe. David Gilmour a repris les rennes du groupe sans Roger Waters et est devenu leader. Le disque porte la pate de Gilmour tout en restant proche du style Pink Floyd (concept album, musique planante, effets sonores). Alors que Roger Waters réalise ses meilleurs albums (Radio KAOS, Tower of Faith et amused to death), Gilmour délivre avec douleur un album mythique (avec les splendeurs Sorrow, Yet Another Movie) dont la réédition en 2019 remixé et réenregistré (ajout des parties claviers de Rick Wright et réenregistrement de la batterie de Nick Mason) va rendre tout l’équilibre (du groupe Gilmour-Mason-Wright) et un nouvel éclat au disque.
Le film “Delicate Sound of Thunder” remonté, remixé prend un nouvel éclat visuel et musical et redevient ce mélange équilibré de Pink Floyd (sans la musique de Waters) et Pink Floyd (avec la musique de Waters). La première partie qui reprend la quasi intégralité de “Momentary Lapse of reason”.
“The endless river” en 2014 est un album d’atmosphère principalement instrumental. Si on tient compte
1/ qu’il est issu d’un assemblage de maquettes des sessions “division bell” de 1994
2/ qu’il a été terminé en 2014 sans Richard Wright (décédé)
3/ qu’il a été imaginé dès le début comme un album instrumental (les derniers mots de High Hopes sont “endless river”)
4/ que les silences contribuent à renforcer une atmosphère spacieuse et planante,
on se sent moins dérouté par ce disque labellisé Pink Floyd. A la deuxième écoute et avec le film (un indéniable plus), il (me) semble évident que le disque devient marquant et sublime avec plein de touches subtiles qui font référence à la palette musicale de Gilmour, Wright, Mason et à la sonorité Pink Floyd.
L’album “Pulse” est sans doute un album qu’on peut qualifier de plus mature (Gilmour Mason Et Wright jouent avec moins de pression : Pink Floyd est une franchise crédible, l’album Division Bell est très bon et ils peuvent jouer les morceaux sous différentes set list contrairement à la précédente tournée). L’album “Pulse” de l’édition n’a pas d’amélioration sensible de l’image mais les morceaux ont été remontés dans un autre ordre et le son a été remixé. On a donc un Pulse 2 en quelque sorte.
Concert de Porcupine Tree au son renversant.
Dans les années 2000, Porcupine Tree enchaîne les albums et les tournées avec une qualité constante (bien que chaque album soit sensiblement différent du précédent) et une régularité qui ravit les fans. Ici on retrouve principalement les titres de l’album Deadwing (2005) avec ses inédits (face B qui valent autant que les morceaux retenus pour l’album principal). La qualité sonore est renversante : Steven Wilson est un puriste du son). A écouter la version DTS. On peut être surpris par le grain de la photo voir critiquer l’image volontairement vieillie et l’univers étrange des vidéos en arrière plan (parti pris de Steven Wilson et de Lass Hoile qui met en image les musiques de Steven Wilson).
L’un des morceaux culminants du concert : Arriving somewhere but not here.
Un inédit (Face B : Mother and child divided).
Un autre inédit (Face B So called Friends)
Gavin Harrison en tête et Steven Wilson omniprésent emmènent le groupe dans un concert mythique.
Hatesong Live 2005 2005
C’est le premier concert que j’ai pu voir en DVD. Et c’est incontestablement un must.
Un détail du BD + disque ici
1. Revenant [03:04]
2. Open Car [04:46]
3. Blackest Eyes [04:41]
4. Lazarus [04:06]
5. Hatesong [09:14]
6. Don’t Hate Me [08:38]
7. Mother And Child Divided [05:11]
8. Buying New Soul[07:17]
9. So Called Friend [04:55]
10. Arriving Somewhere But Not Here [12:57]
11. Heartattack In A Layby [04:07]
12. Start Of Something Beautiful [07:19]
13. Halo [06:42]
14. The Sound Of Muzak [05:14]
15. Even Less [06:54]
16. Trains [07:18]
17. End Credits (Mother And Child Divided)[02:05]
Pour le cinéma, l’art de raconter des histoires à base de musique, d’images et de jeux d’acteurs.
Pour la musique qui vous transporte dans des voyages sonores et qui transpose vos émotions.
Pour dresser une liste non objective de mes films préférés.