2008 – David Lynch (Part 3)

  • Y a t’il du sens ?

Le suivre dans sa pensée n’est pas aisé.
Impossible même.
Mais capter ses idées variées et se laisser porter par des émotions.
Tout est d’abord pure sensation.
Frisson, légèreté, hilarité.
Tristesse, tendresse.
Et réflexion.

La réflexion ne mène pas pas toujours à la compréhension.
Ni à la clarté de la pensée.

  • Des images récurrentes

L’homme affectionne les grandes salles aux rideaux rouges.
Avec des canapés confortables.
Une récente exposition de ses œuvres picturales et structurales
a montré un canapé fort accueillant mais malheureusement en polystyrène expansé.
Très peu accueillant et une salle au plafond bas.


Dans ses films, les canapés sont plus adaptés.
Souvent peuplés de pin up maquillées.
Agréable à l’œil mais pas toujours rassurées.

David Lynch in a still from Twin Peaks
  • Des personnages étranges

Coté frisson, il n’y a pas au plafond et dans les recoins, que des araignées et des rats musqués.
Ce serait trop évident.
Au plafond, des esprits, des esprit frappeurs mais aussi des anges, des fées.
Au ras du sol, plutôt des nains, le genre inquiétant avec le langage compliqué.
Ou des géants.
Qu’on ne demande pas qui fait le ménage.
Sa ménagerie est variée.