2019 – 11 – Woody Allen Passage en revue
Woody Allen en morceaux choisis
Meurtre Mystérieux à Manhattan (1993) est une comédie policière où Woody Allen et Diane Keaton excellent en comédie et dans leur role d’apprentis détectives. Les dialogues (comme toujours foisonnants) fusent.
Dans les deux extraits qui suivent un avant gout du film mais toutefois quelques détails importants sont révélés (dont extraits à voir si film déjà vu).
Dans cette séquence Carol (Diane Keaton) arrive à convaincre Larry (Woody Allen) qu’il y a bien eu meurtre (hommage à Fenêtre sur Cour de Hitchcock) de Mme House. S’ensuit une enquête et une filature comique et bourrée de bons mots.
Quand il ne fait plus l ombre d’un doute de la culpabilité de Mr House, il faut le confondre. Larry et Carol avec l’aide de Ted (Alan Alda) et Marcia (Angelica Huston) vont tenter un “plan” (élaboré au restaurant quelques heures plus tôt).
Pink Floyd Passage en revue
Passage en revue sur Pink Floyd et extraits sonores
Dark Side Of The Moon : album célébrissime et culte maintes fois joué rejoué réinterprété.
Il fait le pont entre le Pink Floyd “psychédélique” (67-72) et le Pink Floyd “progressif” (73-79) entre une musique déroutante et un musique (devenue) ultra populaire.
L’album (sous forme de concept) a aussi été joué en live avant d’exister sur une forme modifiée en disque.
Oeuvre qui a amorcé rendu célèbre (ou inventé) le rock progressif sous la forme de l’album concept, il est excellemment produit.

Le coffret “immersion Edition” permet de comprendre la genèse de l’oeuvre comment elle a existé en live, les premiers enregistrements où il manque certains détails ou passages célèbres puis l’oeuvre terminée et enfin l’oeuvre remixée en son haute définition et multi-piste.
“Momentary Lapse Of Reason” est un tournant dans la carrière du groupe. David Gilmour a repris les rennes du groupe sans Roger Waters et est devenu leader. Le disque porte la pate de Gilmour tout en restant proche du style Pink Floyd (concept album, musique planante, effets sonores). Alors que Roger Waters réalise ses meilleurs albums (Radio KAOS, Tower of Faith et amused to death), Gilmour délivre avec douleur un album mythique (avec les splendeurs Sorrow, Yet Another Movie) dont la réédition en 2019 remixé et réenregistré (ajout des parties claviers de Rick Wright et réenregistrement de la batterie de Nick Mason) va rendre tout l’équilibre (du groupe Gilmour-Mason-Wright) et un nouvel éclat au disque.
Le film “Delicate Sound of Thunder” remonté, remixé prend un nouvel éclat visuel et musical et redevient ce mélange équilibré de Pink Floyd (sans la musique de Waters) et Pink Floyd (avec la musique de Waters). La première partie qui reprend la quasi intégralité de “Momentary Lapse of reason”.
“The endless river” en 2014 est un album d’atmosphère principalement instrumental. Si on tient compte
1/ qu’il est issu d’un assemblage de maquettes des sessions “division bell” de 1994
2/ qu’il a été terminé en 2014 sans Richard Wright (décédé)
3/ qu’il a été imaginé dès le début comme un album instrumental (les derniers mots de High Hopes sont “endless river”)
4/ que les silences contribuent à renforcer une atmosphère spacieuse et planante,
on se sent moins dérouté par ce disque labellisé Pink Floyd. A la deuxième écoute et avec le film (un indéniable plus), il (me) semble évident que le disque devient marquant et sublime avec plein de touches subtiles qui font référence à la palette musicale de Gilmour, Wright, Mason et à la sonorité Pink Floyd.
L’album “Pulse” est sans doute un album qu’on peut qualifier de plus mature (Gilmour Mason Et Wright jouent avec moins de pression : Pink Floyd est une franchise crédible, l’album Division Bell est très bon et ils peuvent jouer les morceaux sous différentes set list contrairement à la précédente tournée). L’album “Pulse” de l’édition n’a pas d’amélioration sensible de l’image mais les morceaux ont été remontés dans un autre ordre et le son a été remixé. On a donc un Pulse 2 en quelque sorte.
2019 – 11 : Quai d’Orsay (2013) de Bertrand Tavernier
Commentaire et Extraits
Quai d’Orsay de Bertrand Tavernier est un film politique fiction mais c’est avant tout une comédie menée tambour battant par Thierry L’Hermitte dans le rôle de Alexandre Taillard de Worms .

Ici c’est le verbe qui prime, le mot autant que les rouages politiques mais avec les portes qui claquent les feuilles qui volent et la furia du jeu de Thierry L’Hermitte et mention pour les seconds roles dont Niels Aestrup et Raphaël Personnaz.

Inutile de dire que pour peu qu’on rentre dans l’humour du film, celui ci devient hilarant, exceptionnel de drôlerie (et peut être à peine caricatural).
Quelques scènes cultes pour se replonger dans le film (et le film en regorge).
Le discours, la page Une et les conseillers (avec une palette de seconds rôles qui ont du bien rigoler).
Le début de la crise du l’ousdemistan ( les noms ont été changés pour la plupart).
La fin de la crise de l Oudesmistan et le passage culte des stabilos.
Un film à voir et à revoir et à marquer à coup sur d’un coup de Stabilo.

2019 – 11 : Charles Chaplin en quelques scènes
Charles Chaplin à travers quelques scènes cultes.
Tout un pan de cinéma à travers Chaplin.
Le dictateur (1939), célèbre, visionnaire, culte, indémodable.

La scène du discours initial.
La scène du barbier.
Hinkel Mégalomanie : la scène culte du ballon
2019 – 11 – Vertigo de Alfred Hitchcock (1958)
Extraits
Ne faisons pas les mêmes circonvolutions que pour le fameux générique: Vertigo (Sueurs Froides) est un chef-d’œuvre.
Dans l’histoire du 7ème art, il est devenu un classique indépassable et un film culte avec ses (quelques éventuels) défauts attribués au temps.
D’un point de vue personnel, (certitude qui ne se remet pas en cause(rie)), il est dans le trio de tête.

Vertigo précède deux autres classiques d’Hitchcock: “North by Northwest (La mort aux trousses)” (1959) et “Psycho (Psychose)” (1960) et se situe au milieu de son “âge d’or” (1954-1964).
Si l’on attribue au cinéaste anglais (parti au Etats Unis en 1940) la paternité et les qualités de l’œuvre, c’est parce on retrouve sa “patte”: “traditionnelle” (courte) apparition, maîtrise de l’art de la narration (une histoire policière avec un innocent présumé coupable et un blonde “Hitchcockienne”), cadrage précis (rien de ce qui est montré n’est superflu), mouvements sophistiqués de caméra (notamment les plongés/contre plongés accentuant des effets de vertige) et plans élaborés (dès le storyboard) et un visuel somptueux (technicolor ici atténué par des filtres froids).


Mais le film ne serait pas aussi unique et brillant sans une histoire diabolique (D’entre les morts de Boileau et Narcejac), un acteur Hitchcockien habitué (James Stewart aussi malléable que déterminé), une actrice débutante (Kim Novak mystérieuse et insaisissable qui magnétise l’écran), deux animations audacieuses et sublimes de Saul Bass (le générique et scène du cauchemar).

Mais ce qui élève le film au dessus des autres c’est surtout l’excellente partition musicale de Bernard Herrmann (au sommet de sa collaboration artistique avec le cinéaste).
Hitchcock dans un rôle quasi paternel et autoritaire aimait s’imposer sauf auprès d’Herrmann (doté d’un caractère volcanique) se laissait rarement commander .
Vertigo est autant une tragédie qu’une symphonie (plus de 60 mn de musique sur 2h de film) et il n’est pas exagéré de dire que “Bernie” Herrmann a mis en musique les images et achevé le film dans une version la plus aboutie.



Si “Vertigo” est l’un des premiers films marquants que j’ai découvert je ne peux pas ne pas constater qu’il reste toujours un film majeur.


La scène du pont qui va marquer à jamais bon nombre de cinéphiles: dans un décor emblématique, Hitchcock filme une séquence où se mêlent amour et mort, suspense et surprise. C’est aussi un point de bascule de l’histoire. Cette scène de quelques minutes sans dialogue magnifiée par la musique de Herrmann est en quelque sorte une leçon de cinéma (au même titre que la scène de Maïs de “North by Northwest” ou la scène du tireur au concert dans “The Man who new too much”).

Vertigo est l’exemple parfait d’alchimie entre histoire (policière), mise en scène (suspense), images (rêve et cauchemar) et musique (omniprésente), la définition du 7eme art qui transcende le concept de l’histoire mise en images.


La préparation du film à partir d’un storyboard a permis de définir une identité visuelle mêlant des plans rapprochés et des plans larges toujours au service de la narration.


Le roman de Boileau et Narcejac (auteurs qu’Hitchcock voulait adapter avec les Diaboliques) a une trame policière mais ajoute une touche de mystère.


Un film de Hitchcock ne serait pas sans une morale typiquement catholique. Hitchcock confesse sa peur d’être arrêté par police (qui daterait de l’age de 5 ans) et de transgresser la “bonne” morale. A l’écran c’est pourtant la situation dans laquelle se retrouve que ses personnages avant de les en sortir.

Kim Novak (Madeleine) qui n’était pas le premier choix de Hitchcock (c’était Janet Leigh) s’avère pourtant idéale, insaisissable et magnétique dans le rôle quasi muet (comme la plupart des rôles du film) . La blonde Hitchcockienne qui est froide en apparence et intense en privé est un fantasme qu’incarneront aussi Grace Kelly et Tippy Hedren mais dont Kim Novak (doté d’un fort caractère) donne sa version.




Vertigo, dans l’histoire du cinéma va inspirer nombreux réalisateurs (on peut citer Brian de Palma (Obsession) ou Paul Verhoeven (Basic Instinct)) comme exemple de narration (le suspense), pour la blonde Hitchcockienne (froide en apparence mais dangereuse à l’intérieur) et surtout pour la manière de parler d’amour et de mort (comme deux facettes de la même chose).

Hitchcock passe de la passion coupable à la morale puritaine. Ce ballet incessant et la culpabilité qui en découle taraude Hitchcock et ici on se prend à imagine d’autres versions et d’autres issues (notamment une autre version de la fin plus cohérente mais sans doute moins “morale” et aux yeux de Hitchcock plus conforme au public).


Le plan de l’escalier en spirale qui va inspirer bon nombre de réalisateurs et le montage ingénieux de la caméra pour créer un effet d aspiration et de vertige.



Vertigo, dans l’histoire du cinéma va inspirer nombreux réalisateurs (on peut citer l’un des plus célèbres Brian de Palma ) comme exemple de narration, pour sa représentation du suspense, pour la blonde Hitchcockienne (froide mais dangereuse), pour le mélange amour et mort.

Outre des réalisateurs qui citent, imitent, parodient ou rendent hommage, des auteurs se sont penchés sur l’histoire tirée de “D’entre les morts” des auteurs Boileau et Narcejac.

Vertigo est aussi un film noir en plusieurs parties un rêve et un cauchemar. Même si on connaît bien l’histoire, on se laisse toujours porter par la mise en scène, la musique et des scènes mythiques.
Inutile ici de se faire suer à essayer de trouver des défauts à ce film (Sueurs Froide en français) et (re) plongeons nous dans les scènes marquantes sublimés par la musique (elle aussi célèbre) de Bernard Herrmann.

Le générique de Saul bass est à lui seul un film dans le film (et l’un des meilleurs génériques de film) .
La première scène de filature.
Scène de “rencontre” au restaurant et filature. Peu de dialogue, une musique omniprésente, la blonde Hitchcockienne et une photographie somptueuse. La narration typique.
Filature au musée. Toujours la musique de Bernard Herrmann, les plans exemplaire de Hitchcock et la narration qui nourrit suspense, mystère et fascination.
Scène culte en 3 parties du pont de San Francisco ( à ne pas regarder si pas vu le film).
Suite : exemple d’un suspense typiquement Hitchcockien
Suite : la magie du cinéma opère toujours même avec la différence d’age en Kim Novak et James Stewart
Scène de la forêt : mystère avec Bernard Herrmann toujours autant inspiré.
Scène de l’église : un point crucial du film et aussi la fin d’un rêve de spectateur
Le cauchemar de Scotty : scène culte co-réalisée avec Saul Bass
Renaissance de Madeleine ? Rêve ou réalité ?
Encore une scène culte ( à ne pas voir si pas vu le film). Scène mythique qui a marqué spectateurs et cinéastes.
2019 – 11 – La double vie de Véronique de Krzysztof Kieslowski (1991)
La double Vie de Véronique de Kieslowski : références et extraits.

Autant le dire tout de suite (en toute subjectivité) “La double de Vie de Véronique” de Krzysztof Kieslowski est un chef d’œuvre.
A mes yeux (de cinéphile), on ne touche pas à un cheveu de ce film (sauf pour une restauration de la pellicule) ni à Kieslowski (qui a mis toute ses forces créatives) ni à Veronique/Veronika/Irène Jacob (dans quasiment son premier “premier rôle” ) ni à Preisner (auteur d’une partition lumineuse) ni à Krzysztof Piesiewicz (co auteur de cette histoire à tiroirs et de la quasi totalité des scenarii de Kieslowski).


N’en jetez plus: on pourrait en citer encore des qualités.
Le film est porté par la grâce: le revoir, c’est apprécier de nouvelles facettes, d’autres détails.
On ne s’en lasse pas: on se prélasse.

J’entends dire que l’histoire (il n’y en a pas !) est compliquée, que le scénario emboite deux films indépendants, qu’à part Irène Jacob, trop d’acteurs sont statiques.
C’est indéniable: le film n’est pas du tout venant.
L’histoire déroule plus qu’elle ne coule .
Certains acteurs parfois jouent leur rôle comme dans la vie (Kieslowski qui a fait beaucoup de documentaires avec des acteurs amateurs aime aussi l’authenticité et la crédibilité).
Il faut se laisser porter, regarder, écouter, s’émerveiller et se laisser emporter.


Le film est lumineux, sensible, poétique, envoûtant porté par la grâce d’Irène Jacob (prix interprétation à Cannes en 1991) et la musique de Preisner. C’est du moins ce qu’on peut ressentir à la première avec des yeux de 22 ans en 1991 (et certainement ce qui a déclenché l’enthousiasme du jury de Cannes).


“La Double Vie de Véronique” (originellement “La choriste”): une histoire (d’amour ?) sous forme de conte, mise en scène à base de trouvailles visuelles (la caméra qui flotte comme une notre de musique ou se contorsionne), de renvois (de Véronique à Veronika) et d’auto références (la vieille femme, le sachet de thé, les plans) à l’univers cinématographique et visuel de Kieslowski.


Oui Kieslowski a un style identifiable et dès lors tout semble partir et revenir à ce film (il ne tournera que 3 films par la suite et 3 films inachevés).
Kieslowski avait aussi prévu de tourner des variations du film avec des fins différentes: on comprend que le sujet est complexe et inspirant.


Certes, c’est un film unique, probablement déroutant au sens où on est entraîné (dérouté) sur de nombreuses pistes (deux histoires apparemment distinctes) avec par exemple l’apparition du magicien et des poupées (film miroir et film à tiroirs).
Choriste, professeure de musique: les miroirs et les facettes d’un même personnage.
Poupée, ballerine: un personnage de conte incarné et décliné ?
Véronique/Veronica à la recherche de l’amour et d’elle même ?


Le film est donc aussi une énigme qui rentre dans la catégorie des (chefs d’) œuvres qu’on aime sans (s)avoir toutes les réponses à de nombreuses questions.
L’une d’elle est notamment celle (fondamentale ou inutile ?), posée par le titre (“La Double vie”): Véronique/Veronika sont elles jumelles, une seule et même personne ou deux inconnues reliées par un fil invisible.
Comme on dit aujourd’hui, nous allons (par la suite) spolier.
Si on regarde (attentivement) le film (et particulièrement la fin des deux segments – Segment 1: Veronica et Segment 2 : Véronique), en premier lieu, la réponse semble évidente mais semble contredire le titre.
Segment Veronika: elle remarque Véronique


Segment Veronika: Véronique ne la remarque pas (vraiment).


Segment Véronique : elle voit la photo qu’elle a prise de Veronica par hasard


Véronique et Veronika ont des points communs évidents à commencer par la ressemblance, par le gout de la musique ou dans le détail chacune par des problèmes cardiaques (plus marqués chez Veronika).


Pourtant pas besoin d’aller cher bien loin pour voir des éléments qui peuvent relativiser voir contredire ce qu’on pense acquis. Les réalisateurs sont aussi (et d’abord) des manipulateurs des magiciens et des conteurs.


Autant dire qu’on est est bien dans la catégorie de l’œuvre universelle, culte, celle qui se contemple et s’écoute, qu’on ne comprend vraiment mais qui nous émerveille encore (et nous quitte avec des interrogations et ce gout de revenez y).


Il est temps de se remettre à la lecture et au visionnage du film pour en découvrir de nouvelles saveurs.



La double vie de Véronique est un film en deux parties la première partie en Pologne avec Véronika à la deuxième partie Clermont-Ferrand avec Véronique .

Mais re plongeons nous dans cette œuvre.
Dès le générique, toute l’atmosphère de conte, la lumière (proche du rêve) et la grâce opère et on commence à suivre Veronika.
La scène clé avec la rencontre Véronique/ Veronika et ses mouvements de caméra.
La scène du concert filmée comme si on était au paradis
La scène des poupées et la musique si magnifique de Preisner.
La rencontre à la fois si simple et si poétique. L’art du cinéaste de décrire une situation banale et un lieu commun avec magie.
Véronique en France
2000 ans d histoire
2000 ans d’histoire et une émission radiophonique de Patrice gelinet de France Inter entre 2002 et 2011
Cette émission d’une demi-heure présenté par un ancien historien et journaliste Patrice gelinet traite d’un thème sur la base du travail d’un historien invité dans l’émission
Cette émission est un dialogue entre le journaliste est l’historien ponctuer d’extrait sonor de film Aude extrait d’archive ou d’une pseudo revue de presse
Cette émission est à la fois accessible car un grand souci de vulgarisation est fait mais aussi de culture
Le phrasé de Patrice gelinet ainsi que l’apparente discussion rende le rythme de l’émission plaisant et l époque prend forme sous nos oreilles
Ci-joint la liste des émissions
Ci-joint une sélection des meilleurs émissions
Ci joint les films dont des extraits apparaissent dans les émissions
Pour ma part le principe de mêler Histoire et extrait de film le format court des émissions et la culture du journaliste et des historiens rendent cette émission incontournable et essentielle.
Porcupine Tree : Arriving Somewhere Live (Live 2005)
Concert de Porcupine Tree au son renversant.

Dans les années 2000, Porcupine Tree enchaîne les albums et les tournées avec une qualité constante (bien que chaque album soit sensiblement différent du précédent) et une régularité qui ravit les fans. Ici on retrouve principalement les titres de l’album Deadwing (2005) avec ses inédits (face B qui valent autant que les morceaux retenus pour l’album principal). La qualité sonore est renversante : Steven Wilson est un puriste du son). A écouter la version DTS. On peut être surpris par le grain de la photo voir critiquer l’image volontairement vieillie et l’univers étrange des vidéos en arrière plan (parti pris de Steven Wilson et de Lass Hoile qui met en image les musiques de Steven Wilson).

L’un des morceaux culminants du concert : Arriving somewhere but not here.
Un inédit (Face B : Mother and child divided).
Un autre inédit (Face B So called Friends)
Gavin Harrison en tête et Steven Wilson omniprésent emmènent le groupe dans un concert mythique.
Hatesong Live 2005 2005
C’est le premier concert que j’ai pu voir en DVD. Et c’est incontestablement un must.

Un détail du BD + disque ici

1. Revenant [03:04]
2. Open Car [04:46]
3. Blackest Eyes [04:41]
4. Lazarus [04:06]
5. Hatesong [09:14]
6. Don’t Hate Me [08:38]
7. Mother And Child Divided [05:11]
8. Buying New Soul[07:17]
9. So Called Friend [04:55]
10. Arriving Somewhere But Not Here [12:57]
11. Heartattack In A Layby [04:07]
12. Start Of Something Beautiful [07:19]
13. Halo [06:42]
14. The Sound Of Muzak [05:14]
15. Even Less [06:54]
16. Trains [07:18]
17. End Credits (Mother And Child Divided)[02:05]