Porcupine Tree : Arriving Somewhere Live (Live 2005)

Concert de Porcupine Tree au son renversant.

Arriving Somewhere But Not Here Live 2005

Dans les années 2000, Porcupine Tree enchaîne les albums et les tournées avec une qualité constante (bien que chaque album soit sensiblement différent du précédent) et une régularité qui ravit les fans. Ici on retrouve principalement les titres de l’album Deadwing (2005) avec ses inédits (face B qui valent autant que les morceaux retenus pour l’album principal). La qualité sonore est renversante : Steven Wilson est un puriste du son). A écouter la version DTS. On peut être surpris par le grain de la photo voir critiquer l’image volontairement vieillie et l’univers étrange des vidéos en arrière plan (parti pris de Steven Wilson et de Lass Hoile qui met en image les musiques de Steven Wilson).

Steven Wilson

L’un des morceaux culminants du concert : Arriving somewhere but not here.

Un inédit (Face B : Mother and child divided).

Un autre inédit (Face B So called Friends)

Gavin Harrison en tête et Steven Wilson omniprésent emmènent le groupe dans un concert mythique.

C’est le premier concert que j’ai pu voir en DVD. Et c’est incontestablement un must.

Un détail du BD + disque ici

1. Revenant  [03:04]
2. Open Car  [04:46]
3. Blackest Eyes  [04:41]
4. Lazarus  [04:06]
5. Hatesong  [09:14]
6. Don’t Hate Me  [08:38]
7. Mother And Child Divided [05:11]
8. Buying New Soul[07:17]
9. So Called Friend [04:55]
10. Arriving Somewhere But Not Here [12:57]
11. Heartattack In A Layby  [04:07]
12. Start Of Something Beautiful  [07:19]
13. Halo  [06:42]
14. The Sound Of Muzak  [05:14]
15. Even Less  [06:54]
16. Trains [07:18]
17. End Credits (Mother And Child Divided)[02:05]

2017 – 08 : Steven Wilson – to the bone ( 2017)

Steven Wilson to the bone

“To the bone” est un disque de Steven Wilson qui fera peut être date.

Pas forcément parce que le disque se démarque des précédents: SW s’astreint à changer – faire évoluer – son style à chaque nouvelle création (electronique avec Insurgentes (2008), progressive jazz avec Grace For drowning  , progressif old school avec The Raven (2013) concept album avec Hand Cannot Erase . Cette fois par sa volonté assumée et recherchée d’être “populaire” au sens cotoyer le “mainstream”, sortir de l’anonymat (relatif) du rock progressif.

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2017 – 08 : Steven Wilson artiste complet passionné et travailleur

Steven Wilson artiste travailleur

SW est un travailleur acharné et exigeant (Il ne vit que pour la musique) multi instrument, chanteur compositeur , prolifique mais inconnu du grand public. A l’age de 20 ans bercé par Pink Floyd par son père, Abba par sa mère et passionné de mixage éléctronique, il rêvait de faire de la musique même si personne ne l’écouterait. De ses premières cassettes (1986) et son rêve c’était de faire des disques qu il commenca seul (On the sunday of Life 1991) puis interprête par un groupe (The sky moves sideaway 1995) il enchaine les disques avec un reel succes de fans et de critiques pendant 20 ans puis plus recemment à l’instar de Prince il rêva d’être une star. Ce qui change non pas l’ecriture (il composait déjà tout avant mais sa liberté sur les musiciens qui l’accompagnent.

2017 – 08 : Steven Wilson le plus fameux des musiciens inconnus

Steven Wilson (SW né en 1967) est un auteur compositeur interprete musicien producteur anglais inclassable.

Rock Progressif

Si on aime le rock progressif (genre rock basé sur une grande liberté tant sur le plan des instruments que la structure des morceaux), SW est populaire : il porte (et incarne) un pan énorme du renouveau de ce genre : (le néo prog) par ses longs morceaux mêlant bravoure des solistes des break dans la narration musicale et des arrangements complexes.

Ancestral (2015)

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